Les Productions Shard Présentes:

Travail Final


Tel un prédateur silencieux, l’ombre avançait à pas feutrés, tout de noir vêtu, contournant les obstacles sur son passage. De beaux divans aux tissus richement surpiqués, une énorme statue représentant un griffon, et partout des tableaux de toutes sortes accrochés aux murs. Décidément, le propriétaire de la maison avait du goût. Dans la pénombre, l’assassin se dirigea droit vers la grande porte ouvragée. Une fois dans la pièce faiblement éclairée, la silhouette aperçue une ombre calée dans fauteuil rayé. C’était lui qu’elle devait tuer. Sans bruit, la femme s’avançait doucement près de sa proie qui semblait sommeillé, cuvant le vin capiteux qui avait accompagné l’assiette de canard confit qu’il avait dégusté quelques heures plus tôt. Dans ses mains gantées, la tueuse tenait un fil de fer mince. Idéal pour la strangulation. D’un geste habile, le cou de la victime se retrouva prisonnier d’un effroyable étau. Impitoyable, le fil meurtrissait sauvagement les chairs flasques. La vie disparaissait doucement des yeux brillant de terreur de l’homme qui martelait le sol de ses pieds chaussé de mocassins vernis et coûteux. En vain. Personne ne viendrait à son secours. Puisqu’il était seul à sa merci.
Une fois le travail terminer, l’assassin sortit rapidement de la pièce, tout aussi somptueuse que la précédente pour emprunter un petit corridor menant vers le côté Est du manoir. Il y en avait d’autres à éliminer. Le massacre était à peine entamé. La soirée était jeune. Un bruit de pas au loin avertit la meurtrière d’une présence venant dans sa direction. Quelqu’un approchait. D’un pas vif, elle colla son dos au mur derrière une immense armoire en bois d’acajou massif. Patiente, elle attendit que sa victime vienne à elle innocemment.
Le fil aiguisé de la lame étouffa le cri de l’homme en lui tranchant la gorge d’un geste rapide et puissant. Retenant le cadavre de sorte qu’il ne s’écroule pas en fracas par terre, la femme traîna le corps d’où s’écoulaient des traces vermeilles sur le riche tapis d’Orient. C’était plus facile qu’elle ne l’aurait crue pensa-t-elle, un sourire cruel sur son visage masqué par l’ombre.

Tant mieux, pensa t-elle, avec satisfaction. Elle pourrait terminer sa besogne plus rapidement et se faire couler un bain chaud en buvant une camomille plus tôt qu’elle ne l’avait prévue. L’assassin détestait être couverte du sang de ses victimes. Le contact de leur vie encore chaude coulant de leur plaie sur son propre corps lui donnait une impression d’intimité qu’elle n’appréciait pas. Habituellement, celle-ci travaillait proprement, mais parfois, les dégâts étaient inévitables. Après s’être débarrassé de sa victime en le déposant sans douceur au fond d’un placard, elle continua son chemin jusqu’à une autre porte. Barrée cette fois-ci. Confiante, la tueuse sortit de sa poche un passe- partout puis crocheta sans bruit la serrure. Il y avait de la lumière dans la petite pièce vide à l’exception de quelques moniteurs de surveillance et d’une table couverte de ronds de café. Le poste de surveillance du domaine. L’homme qu’elle venait de tuer en sortait sûrement. ‘’Dommage pour lui qu’une simple envie de pisser lui fût aussi fatale’’ pensa t-elle. La femme regarda attentivement les écrans et aperçue le couloir ou elle avait traîner le cadavre du surveillant. Satisfaite de l’imperceptibilité des traces de sang sur la moquette, elle afficha un sourire en coin, malicieux. Elle profitait encore de l’avantage de l’effet de surprise. Jusqu’à présent, tout se passait comme prévue.

Des voix lui parvinrent de derrière la porte. Ils étaient deux, la tueuse en était certaine. Elle se colla rapidement le dos sur le mur, derrière la porte, en sortant son silencieux de son étui au même moment qu’elle entendis le déclic de la serrure. La porte s’ouvrit. La mort tapie dans les ténèbres. Le coup partit rapidement en visant la tête d’un homme au cheveux grisonnant qui jamais n’aurait douté finir sa vie écroulé ainsi par terre dans une position qui n’évoquait rien de noble en soi. Rapide tel un félin, elle sortit de derrière la porte pour affronter le suivant. Lorsque retenti le coup de feu, l’homme avait rapidement dégainé son arme afin de parer l’attaque surprise dont il était victime. Malgré l’étonnante rapidité de celui-ci, la femme tira en premier en visant le cœur. La balle le transperça avec précision mettant fin à ses jours. Encore une fois, elle prit soin de cacher leurs cadavres. Même si en peu de temps, elle en avait décimé quatre, elle devait se montrer rapide. N’empêche, elle prit néanmoins le temps de se féliciter intérieurement. Après tout, elle se perfectionnait de plus en plus dans son art. Sans perdre de temps la tueuse quitta la pièce avant que les autres ne se doute que quelque chose ne tournait pas rond dans le riche manoir.


Dans une des multiples poches de son uniforme de combat standard, l’assassin sorti une grenade électronique qu’elle programma. Cette partie de la maison allait s’illuminer comme un feu de joie. À ce moment, elle sera déjà loin hors de danger.
Dommage pour la décoration, pensa-t-elle. Puis la femme reprit route afin de terminer son travail. Celui-ci lui plaisait beaucoup à bien y penser. Quand toute la maisonnée sera éliminée, elle partirait le cœur léger et heureuse d’avoir accomplit cette vile besogne. Après tout, n’avait elle pas été prédestinée à ce job ?

Le lendemain, les journaux afficheraient, en manchette une tuerie incroyable ayant eu lieu dans la somptueuse demeure d’un richissime marchand boursier. Personne ne pourrait alors expliquer comment cela c’était produit, ni qui aurait pu en être l’auteur, car l’explosion balayera toutes les preuves. Le feu détruira la majeure partie de la demeure en anéantissant les magnifiques œuvres d’arts qui s’y trouvaient. On ne trouvera jamais le ou les coupables, et l’affaire sera classée dans la rubrique des faits non résolus et finira par être vite oublié. Cependant, la jeune femme se souviendra longtemps de sa victoire sur l’ennemi


(c) copyright 2003

Belle tuerie Great. Tu est au sommet de ton art. Félicitation!!

Au sommet !!
Criss chui même pas rendu à la première côte !
J'ai un pain weston de croute à manger avant de prétendre être satisfaite.
Faut juste que j'arrête d'être lâche...

ya quelques fautes mais c'est pas mal bon tout ça!

Ou ben, j'ai pas corrigé fort fort, en plus, je suis nulle en français...

C'est pas mal bon dude

vraiment bon sa prendrait une suite ou p-e les autres tueries de ta meurtriere pis ton afaire sa sonne ke meme si sa aurait 400 page sa se lirait tt seul tk chapeau pis jespere ke tu va finir par te rendre au sommet de ske tu fait

BLACK METAL IST KRIEG

Voici un autre de mes vieux textes que je n'ai pas lus depuis longtemps. Elle est plutôt brève, mais parfois, ça ne donne rien détirer les histoires pour rien...




Le lègue


Pip pip pip pip pip faisait la petite machine où s’affichaient les battements cardiaques de la jeune femme inerte gisant dans son lit immaculé, froid, et trop grand pour elle. Sous les draps blancs javellisés, son corps, criblé d’aiguilles et de tubulures compliquées, ressemblait à un fantôme enchaîné. Le poteau de fer du soluté branché à son bras frêle se dressait droit et fier, à sa gauche en formant une ombre sur son visage livide aux traits fins. Il lui transmettait à elle, ainsi qu’à l’enfant qu’elle portait, les sucres et les sels nécessaires à l’existence. Dans le coin sombre de la pièce, se tenait le respirateur artificiel qui les maintenait en vie par la seule force de l’électricité provenant du fil branché au mur. Mécaniquement, le thorax de la femme montait et descendait comme si plus aucune passion ne l’animait. Dans ce lit semblable à un tombeau, la pâle silhouette n’affichait qu’un semblant de vie. Un électroencéphalogramme, dont les électrodes disposés sur son crâne guettait le moindre signe d’une activité électrique quelconque. Les battements cardiaques affichés sur l’écran étaient faibles, mais réguliers.

Depuis une semaine déjà qu’elle était inconsciente comme si elle avait été ensevelit vivante. Elle ne sentait même plus la vie de son être, ni celle de l’enfant qui grandissait, tant bien que mal, en son sein.
‘’Commotion cérébrale d’origine inexpliquée’’ avait solennellement dit le médecin à l’homme en larmes, effondré sur la chaise inconfortable près du lit où gisait sa femme mourante. L’eau jaillissant de ses yeux noirs luisait sur ses joues, et lui glissaient le long du coup en trempant le col de sa chemise entrouvert. Du jour au lendemain, elle s’en était allée pour se retrouver dans cet univers sombre à végéter entre la vie et la mort. Disparue en bouleversant à jamais leur existence heureuse.
Depuis le début de sa grossesse, elle souffrait d’horribles maux de têtes. À maintes reprises l’homme lui avait fait part de son inquiétude.
-Bah ! Ce ne sont que des migraines ! C’est sûrement le stress après tout, lui avait dit la femme, un soir en se blottissant contre lui, une esquisse de sourire aux lèvres. Les cinq derniers mois heureux de leur vie avant que tout bascule. À présent, de la femme qu’il aimait, il ne restait plus qu’une coque vide d’où s’était retiré la vie. Plus personne n’avait espoir de revoir, un jour, ses yeux gris briller de joie. Plusieurs parties de son cerveaux présentaient de sérieuses lésions et quelques parties nécrosées. Tâches noires fatales qui ne permettraient plus jamais un retour a ses facultés intellectuelles normales. Des zones mortes.

Il ne restait qu’à savoir si le bébé tiendrait le coup quand on le sortirait de sa matrice protectrice que l’on maintenait artificiellement en vie afin de donner une chance à l’enfant de rester en vie. Allait-il survivre dans l’incubateur étranger, hostile où il sera déposé sous peu ? Prématuré, plusieurs parties de son anatomie ne seraient pas complètement formées. En subirait-il les conséquences tout au long de sa vie? Serait-il trop faible pour affronter l’adversité de notre monde? Comment se porterait son existence en l’absence de celle qui l’avait porté, sans sa mère qui lui aurait prodigué tout son amour si elle ne s’était pas perdue dans les méandres du coma ? Tant de questions qui se bousculaient dans l’esprit de l’amant dévasté qui serrait compulsivement la main de sa bien aimée, le corps secoué de spasmes violents causés par ses pleurs, souffrant de la perdre à jamais. Incapable, il était, de lui faire ses adieux. La brutale réalité n’ayant pas encore imprégné son être, il se refusait à l’admettre.

Sur son épaule affaissée, il senti le contacte d’une main tiède et réconfortante. ‘’C’est l’heure’’ dit doucement le médecin d’une voix grave touché par l’émotion de l’instant. L’homme qui s’était agenouillé près de sa femme cru défaillit d’agonie quand le médecin et ses assistant emmenèrent au loin la femme qu’il avait aimée comme un fou. Sans bruit, la civière s’éloigna en direction de la salle d’opération où on lui soutirerait le fruit de son amour, qu’elle avait abandonné, malgré elle, en sombrant dans l’inconscience. Quelques minutes plus tard, une fois l’intervention qui consistait à soutirer l’enfant de son enveloppe maternelle fut terminée, la petite fille qu’ils avaient tant désirée fût déposée dans le ventre de verre artificiel à environnement contrôlé, tandis que le corps de sa véritable génitrice, qui jamais ne la prendrait dans ses bras, se refroidissait lentement sous la lumière froide du bloc opératoire.

(c) Copyright 2003

Ma belle tite great, ca te tenterais pas decrire des texte moins long des fois?.......jaimerais ca pouvoir les lires pis quand c trop long c découragant a lire pour une personne comme moi qui déteste lire des romans

Rien n'oblige personne à me lire.
Paresse va !

tank ka chialler sur la longeur du tesxe fait dont un ti effort ou lit le pas pantoute si taime pas sa lire



dsl mes je trouve sa assez impertinnent

D'autant plus que j'aimerais avoir des critiques contructives, quitte à ce qu'on me dise que c'est d'la marde.
Inquiétez-vous pas, je suis capable d'en prendre.
Ça va m'indiquer plus clairement si je dois arrêter d'écrire où continuer, même si j'ai une infinie paresse à le faire.

Moi je trouve ça très bien, maias ya juste que, dans le deuxième, au début on penserrait pas qu'elle est en tria crever mais plutot seulement dans le coma pour le reste de ses jours.

Question comme ça, tu compte en faire quoi de c'est text là???

Moi non plus je pensais pas qu'elle allait crever.
Ça s'est décidé ainsi c'est tout.
Pour répondre à ta question, ces deux textes font partis d'un receuil que j'ai débuté il y a longtemps et que je vais surement finir un jour, quand ça va me tenter.
Ce que je compte en faire, lrien pentoute puisque la seule raison qui me fait écrire est que j'ai du plaisir à le faire.
Le reste, j'men fou un peu.
Je ne suis pas assez discipliné pour avoir des projets fous de carrière, ni envie de végéter dans la misère.

Ont pourrait faire de petit court métrages avec ça, tu ne crois pas???

Ont pourrait de petit court métrages avec ça, tu ne crois pas???

Tant qu'à faire des courts métrages, je ne prendrais pas ces idées là...
Oublis ça tu suite.

Et pourquoi oublier ça??? Tu ne trouves pas ça bon??? Le premier entouka, je trouve que ça ferrait un bon court métrage, bien fait il pourrait être utiliser en compétition.

En fait, je suis une éternelle insatisfaite, donc, c'est sur que je trouve ça tiède comparé à certaines idées qui me trottent en tête, mais bon, c'est mon opinion...

Pour ce qui est des compétitions, ma vision du cinéma est trop grandiose que je ne perdrais pas mon temps à soummettre des scénario de ce genre ! J'ai eu du plaisir à l'écrire, parce que je vis ce que j'écris, mais de voir une telle histoire me laisserais de marbre...

Merci quand même de ton appuis

Voici un texte que j'avais mis dans la bibliothèque des guerriers, il y a fort longtemps...

Fatalité égoïste

Une bruine recouvrait légèrement les feuilles vertes et tendres de l’arbre. Celles-ci semblaient danser sous l’effet de la brise matinale tandis que l’érable majestueux s’élevait vers le ciel, droit et fier, tel un monument dédié à la gloire du monde. Il attandait. Quelque part sur son écorce, il sentait la douce caresse des petits pas d’un écureuil qui avait fait de lui son domaine, son protecteur. Le chant de la panoplie oiseaux dans sa cime l’enchantait malgré son malaise croissant. Les branches tendues vers le ciel, il implorait le soleil de lui donner la force de résister au mal qui le rongeait depuis peu. Son être entier n’était que souffrance depuis son réveil, il y avait de cela quelques lunes.

Peu à peu, il reprenait vie. Lentement, sa conscience ancestrale lui revenait. Pendant ces années paisibles passé en état de torpeur, il avait oublié son existence. Au courrant des dernières décennies il avait vécu comme dans un rêve. Un rêve devenant de plus en plus torturé. Le monde changeait. L’air n’était plus aussi pur, la pluie le brûlait parfois comme de l’acide, et les animaux devenaient nerveux et agressif. Il y avait, aussi, ces incessantes vibrations provenant du sol qui lui faisait mal aux racines. Sous l’effet de la douleur, celles-ci se contractaient. C’étaient ÇA qui l’avait tiré de sa douce torpeur cinq lunes auparavant. En 500 ans d’existence, l’arbre n’avait jamais ressentit autant d’effroit dans l’air ambiant.
Les pulsations étaient des hurlements provenant de ses semblables avec qui l’érable majestueux était entremêlé sur des kilomètres de distances. DANGER, DOULEUR, AGONIE. L’horrible pulsation devenait nette et son intensité était beaucoup forte depuis quelques jours. Cela le peinait d’assister impuissant à la détresse de ses semblables, avec qui il avait dansé tant de fois sous le vent chaud d’été. Il ne pouvait rien faire pour leur venir en aide. Il se sentait inutile.
Cela faisait des millénaires que les arbres ne se déplaçaient plus, et leur immobilité avait permit à leurs nombreuses racines de s’enfoncer toujours plus dans la terre causant ainsi tout un système de communication complexe entre eux.

La pulsation augmentait en même temps que l’inquiétude de l’arbre qui partageait cette souffrance avec ses semblables. Il ressentait la colère de ses compagnons d’écorces tout aussi impuissant que lui à réagir. La communion de la douleur était à son apogée. Le grand érable avait maintes fois essayé de bouger ses racines pour se tenté déplacer, comme ses ancêtres le faisaient autrefois. En vain, hélas. Ses racines étaient trop emmêlées avec celles de ses congénères. Il ne lui restait plus qu’à attendre se qui allait se passer. Stoïque, il se dressait de toute sa fierté appréhendant le pire.

Soudainement, l’arbre ressentit une douleur horrible provenant de son écorce. Quelque chose lui brisait la chair à la base du tronc. Brusquement, il comprit, alors l’origine et le sens des avertissement que ses semblables lui envoyaient: on les coupait en deux ! Horreur ! Quelque chose voulait les tuer, les arracher du sol bien aimé qui les supportaient depuis si longtemps. On les exterminait. Dans une tentative désespérée de bouger, l’érable réussi à peine à bouger une de ses racines périphériques. Il comprenait, à présent, pourquoi certains de ses semblables paraissaient tellement silencieux depuis quelques temps. Ils s’étaient tus tout simplement parce qu’il n’étaient plus. On les avait sauvagement massacrés ! Pauvre frères ! Le même sort l’attendait à présent. La souffrance se fit toujours plus intense à mesure que l’on brisait son écorce, sa chaire, son être. Du coups, lui aussi, se mit à transmettre des pulsations souterraines afin de prévenir les autres du désastre qui les guettait: DANGER, DOULEUR, AGONIE. ON NOUS TUE ! À L’AIDE ! JE MEURS…

Le bras mécanique de l’engin assassin déchiqueta la chair rugueuse de l’érable jusqu’à ce que celui-ci s’effondre au sol, sans vie pour passer à l’arbre suivant. Le massacre à blanc qui avait détruit un nombre incommensurable d’amis bien aimés de l’illustre érable se continuait sans relâche du matin au soir lassant une vision de mort et de désolation sur son passage. Bientôt, la forêt ne serait plus. Tout sera mort et détruit, ne laissant place qu’au vide, et à l’égoïsme crasse des assassins de ce monde détruisant tout sur leur passage afin de combler leurs besoins dérisoires. La mort régnera, alors, sur un monde vide et dépourvu de sens…

Sentez-vous l’agonie qui se propage?



(c) Copyright 2003

Pour en revenir au message que jai pu lire venant de s'que javais écris, jai compris le mesage c parfais j'ferai pu de critique sur les texte de great qui me semblais tres bon malgrer le faite que jaime pas lire ce qui est long a cause de mon manque de patience face a la lecture!

Sur ce, merci et bonne continuation great, ce que jai pu lire de tes textes avais lair tres bon!

Une histoire très très courte, et à vrai dire sans intérêt, mais je la mets ici quand même juste pour Dark Queen 666 !
C'est l'histoire la plus corte que j'ai jamais écrite.

Gris


Arial Narrow marchait seule sur le macadam souillé. Elle respirait la brise humide et laissait la lumière blafarde des lampadaires éclairer sa peau. Il n’est pas vrai que la nuit tous les chats sont gris. Ce n’est pas toujours comme ça que ça se passe. On apprend souvent les choses que très durement. Elle apprit cela en ce soir fatidique. D’abord, elle s’était allumé une cigarette puis l’avait consumé en entier. Par la suite, elle s’en ralluma une autre et la fuma elle aussi. Après une quinte de toux importante, elle décida de reporter à plus tard la troisième. Là, elle attendait patiemment que se présente un chat afin de voir si, effectivement, il serait gris cette nuit. Il n’en vint point. Elle se ralluma une cigarette et attendit de plus belle entre deux quintes de toux. Rien ne bougeait dans la ruelle ou Arial se tenait excepté le mouvement de ses doigts quand elle secouait sa cigarette pour en faire tomber la cendre. Quand son deuxième paquet fut terminé, le soleil se levait, et elle ne su jamais la vérité puisque qu’elle eut une attaque. Ses poumons étaient devenus tout gris.

Voici une nouvelle basée sur le monde de Ravenloft et de Forgotten Realms que j'affectionne particulièrement. Donc, pour ceux, celles et les autres qui les connaissent, vous allez reconnaitre les références.

Puisque cette nouvelles fait quelques pages, je vous en donne seulement un extrait.
Si vous y êtes favorable, je rajouterai les autres par la suite question de vous tenir en halène.


Une nuit parmi tant d’autres dans ce monde de ténèbres.
‘’ Abecquer u-kkct shlis’zst zxash’’

Un peu de terre fut propulsée en l'air lorsque la main crispée jaillit du sol. Une oreille attentive percevait sans difficulté les grognements sourds étouffés par le poids de la terre où était ensevelit la créature. L’oeil brillant sous la lourde capuche noir vit d’autres jets de terre apparaître, à mesure que le bras s’extirpait tant bien que mal de la terre. À sa gauche, l’homme drapé d’une cape sombre, voyait un autre trou se former rapidement. Le sort de résurrection fonctionnait et l’homme était satisfait de lui. Les traits durs de son visage affichaient dans l’ombre un sourire menaçant. De tout son être, il ressentait le pouvoir de sa magie diabolique. Il exultait. Dans le vide de la nuit noire, ses doigts dansaient avec précision des arabesques compliquées dans les airs afin d’amplifier la force de son incantation. Autour de lui, des corps grouillants luttaient pour se libérer de leur prison de terre noire. Patient, le nécromancien attendait que ses jouets en fussent tous extirpés. Il estimait qu’il y avait au moins une quarantaine de cadavres dans ce cimetière. Tous puant, décomposés, vacillants sur leurs jambes, les créatures ressemblaient à des veaux nouveaux-nés luttant pour rester debout. Leurs corps devenus difforme par la mort s’adaptèrent peu à peu à la position vertical, immobile, attendant les ordres de leur Maître. Les moins abîmés d’entre eux grognaient de mécontentement de s’être fait réveiller d’entre les morts. D’après leurs vêtements défraîchit on pouvait conclure qu’ils avaient été paysans. Dans une autre vie. Sous le capuchon noir, les lèvres fines du nécromancien laissèrent échapper un rire cruel. Il triomphait. Son armée était prête pour le combat.
-‘’ Umnùindtz orfg‘r ‘’ Ordonna calmement Le Maître de sa voix suave, assurée.
Mués par une force qui n’était pas la leur, les morts vivants obéirent et se mirent en marche d’un pas lent et incertain. Parmi les vapeurs nocives de la terre blasphémée par le sort du nécromancien, ils avançaient claudiquant sur le sol inégal.
-À la gloire du Seigneur Von Zarovich qui vous ordonne de vous battre en son nom lança-t-il avant de s’esclaffer à nouveau, dément.

Lentement, la légion progressait vers l’Est en contournant les arbres Les rares animaux de la forêt fuyaient les environs où bien se terraient dans leurs cachettes en couinant de peur. Les zombies poussaient, à l’occasion, d’écoeurant borborygmes qui aurait réduit la raison de quiconque à néant. L’odeur des cadavres pourrissant était épouvantable, mais l’homme sinistre marchant à leur côté en avait cure. Le nécromancien était protégé par de puissants sortilèges. Rien ne pouvait traverser ses barrières magiques, pas même leur infâme odeur.
Ils allaient droit vers leur proie.
Ils approchaient.


(C) copyright 2003-2004

On sent que vous êtes impatient de lire la suite !
Ne vous gênez pas de faire des critiques , c'est pas ça qui va décalisser mon estime de moi !
Ne vous gênez pas non plus pour dire que ça ne intéresse pas !
Je comprendrai et irai me cacher dans une tannière humide et sombre pour me coucher en tite boule et pleurer toutes les larmes de mon corps