La croix des anges; Le cercle des démons
La chaleur est présente où mon âtre se couvre
Aux crépitements sourds, des égarements froids
Ne suffisent toujours pas à roussir les proies
Mais jamais ne craignent le velours qu'on découvre
Dès que tu vois le feu sourire à ton détroit
Où ton auge faillit, là où ta faille s'ouvre
N'oublie jamais ta crainte avant qu'il ne la trouve
Ses séismes de soufre embraseraient ta croix
Car il n'oubliera pas, (l'oublie ne gèle plus)
Il brûlera pourtant autant qu'il t'aura plus
Car son cercle rend fort, Crématoire qui dort
"Chut! Laisse-le rêver, cette bûche d'efforts...
Ne viens plus tracer de toiles sur son confort"
-Peu m'importe ici-bas. Le mis à mort m'a plu!